Bullfight paintings exhibition at the bullring

0810 bullfight paintings exhiition in Turre

In my last post I said I would publish some more photos from my bullfight paintings exhibition last year, at the bullring in Turre (Almeria, Spain), this charming little town where we live. I had got the special authorisation from our mayor for that, to be honest I had expected it to be denied as I applied, only 2 days before!The fact is they had never been confronted with such a petition in our town hall… but our mayor is a modern man, he even made sure himself that I got the space I needed, just by the entrance.

We don’t have a real bullring here in Turre, so on some important occasions, like the town fiesta in October every year, a mobile arena has to be constructed. Of course, it is just a tiny one, but I must say that I adored to ‘participate’ in the bullfight there. It was quite intimate, and of course the ambience was great, a bullfight here being quite a rare event..

0810 toros en fuegoIt was quite hilarious as the fire engine arrived and parked just by my exhibition. It really looked as if they were expecting that some anti-bullfight fanatics would arrive and set my paintings on fire!

0810 horses bulls and firemenOn the other side of the fire engine… I guess they were the horses from the picadores…

0810 JCB horsesIn fact there were horses everywhere outside the bullring, before the bullfight started. I suppose they had no room to “park” them inside the mobile arena. ..

0810 bulls in Turre

and this is where the bulls were parked, at the back of the arena, inside the lorry which brought them., waiting for their appearance on stage… and their death, unfortunately. I can tell you, there was a lot of restless movement and banging inside there, quite scary! Always sad when one thinks that these beautiful wild animals, so full of energy, will be killed within 10 minutes after the beginning of the fight. I must say that I suffer much more under this thought than under the sight of them being killed… It somehow makes me more conscious of the occasional unfairness of life and death…

I once had the opposite experience. I was invited to go to “the butchery” (I don’t know the right word), inside the arena, just after a bull was killed which I had just seen fighting. It was a deep existentialist shock, to see  this wild animal which had fought so bravely some minutes ago, hanging there by his feet and being skinned… I will never forget this!

Toroscape 43

Toroscape43S

My Last Toroscape (#43)

Featuring our local matador “Jesus Almeria”

By the way this painting is nspired from a photo I took myself in October 2008 art a corrida in Turre. I had rceived a speicla permission from the town hall to make a bullfight painting exhibition in front of the bull ring, begore the fiesta begins. I had never dome something like that before, and I doubt, many others had either!

The heroe of the day, Jesus Almeria, went through the exhibition with his team, and complimented me. Kevin insisted to take a photo…

I will show you in my next post dome more photos from this exhibition, as it was really folkloric!

0810 Jesus Almeria and Miki

Man, Bull and Horse in Digital Light

Toroscape42S

An example of pure Digital Art. I do believe that the computer tools are very adequate to express artistically the vibrancy of the Fiesta. Unfortunately many people still think that Digital art is not Art at all. It happens to me quite often that some clients contact me, being interested in some digital bullfight painting, but when I tell them that these ones  are partly or totally digital art, they lose the interest.

But I must say that this happens above all in Europe. Over sea, especially in America and Canada, the people don’t care really what it is if they love it!

Anyway, this is a digital painting’ based on a wonderful photo taken by my French friend and bullfight lover Joel D. My special thanks goes to him for allowing me to use his photos.

I thought it might be interesting to see both art works close to each other, the photo and the painting!

Lundi 13 avril 2009 – Corrida de rejon

Rejon 1S

De nouveau, les arènes d’Arles sont pleines en cette matinée du dernier jour de la féria.
3 rejoneadores et leurs magnifiques montures vont nous régaler d’un superbe spectacle pendant près de 2h30. Bohorquez, Mendoza et Ventura ont offert ce qui est considéré comme un sommet dans l’art de la tauromachie à cheval, alternant grâce, élégance et émotion. J’espère que ces quelques photos sauront retransmettre le plaisir ressenti à la vue de ces ballets équestres.
J’emploie volontairement le terme de ballets équestres où le toro me semble n’être que le faire-valoir de cavaliers émérites mais il est impossible de rester insensible devant de tels mouvements où la complicité du cavalier et du cheval est portée au plus haut point. Mais si j’ai en mémoire la vision extraordinaire de chevaux semblant parfois défier seuls les toros, j’ai à l’inverse peu aimé la suerte qui consiste pour le rejoneador à déposer son chapeau entre les cornes du toro… Diversement apprécié par les aficionados, ce geste m’a semblé être de peu de respect pour un vaillant adversaire mais je manque d’objectivité, il est vrai que je ne suis pas grand amateur de ces corridas à cheval…

rejon 2S

rejon 3S

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Texte & Photos by Joël D.

Inauguration du nouvel atelier Toro – 2 –

2009ToroAcrylic03S

by Miki, May 2009 – Acrylics on canvas, 100 x 50 cm

One of my 2009 new series on bullfight acrylics paintings on canvas… I love these extreme vertical formats, quite a challenge though to fit in the bll and the bullfighter… one has to cut parts, but when one cuts at the right place (no blood!), the result can be very striking…

Inauguration du nouvel atelier Toro – 1 –

2009 Toro Acrylic 04 S

by Miki, May 2009 – Acrylique sur toile, 100 x 50 cm

Enfin j’ai pu me remettre à la peinture sur toile! Depuis mon déménagement l’été dernier j’étais privée de mon atelier pour grands formats, et je trouvais réduite à peindre sur papier ou sur toiles miniatures. Non pas que je n’aime pas, non. J’adore le papier, surtout le beau papier beaux arts, c’est un immense plaisir de travailler dessus å l’aquarelle ou à la gouache. Mais bon, des fois, j’ai besoin d’avoir plus de place pour mes folies artistiques, et j’ai aussi besoin de sentir les pinceaux glisser sur la toile… c’est un sentiment tout autre que le papier, plus profond, plus physique. Alors voila, l’endroit convoité depuis des mois pour installer mon nouvel atelier est enfin acquierti, et je n’ai pas tardé une seconde pour me mettre au travail., les corridas étant bien sur LE thème idéal pour commencer. D’abord parce qu’une corrida en grand format çà rend plus justice à la majesté de la fiesta, et puis aussi parce que mes clients en veulent. Du Toro sur toile, c’est çà qu’ils préfèrent! A part les Anglais, qui eux restent fidèles aux peintures aquarelles plus délicates et plus pastels…

Bref, je viens de terminer 2 formats panoramiques verticaux… je suppose que cela ne s’appelle pas comme çà, alors si quelqu’un ici connait le vrai terme… j’adore ce genre de formats extrêmes, verticaux ou horizontaux. Pas toujours facile d’y mettre la corrida dedans, mais je crois que, dans les 2 cas cela m’a bien réussi… et non, je n’ai pas honte de me faire des compliments a moi-même!!!

Je présenterai le second la prochaine fois… si je n’oublie pas!

Traje de luces…

Habit de lumière 1

A de rares occasions près (corrida goyesque ou corrida-festival), l’habit de lumières (traje de luces) est indissociable de la corrida. On attribue la composition de l’habit de lumières à Francisco Montes « Paquiro » vers les années 1830.
Cette tenue se compose d’une veste (chaquetilla) qui recouvre un gilet (chaleco). Le tout porté sur une chemise blanche à jabot (camisa) et une cravate (pañoleta). La culotte (taleguilla) est resserrée au dessus des genoux par des cordons tressés (machos) agrémentés de glands (caireles). Une large ceinture (faja) est en principe de la même couleur que la cravate. La culotte laisse apparaître une paire de bas roses qui recouvre elle-même une paire de collants de coton blanc. Des chaussures légères (zapatillas) terminent cet habit. Enfin, la matador se coiffe d’une toque en astrakan (montera) et fixe à l’arrière de ses cheveux un chignon postiche (coleta) qu’il coupera symboliquement le jour de sa retraite. Pour être complet, lors du paseo, le matador porte un capote d’apparat (capote de paseo).

Sur l’habit de lumières du matador, les broderies sont habituellement dorées, parfois noires. Sur celui des peones, elles sont argentées, noires ou blanches. On peut noter sur les photos la richesse de ces broderies.
Le coût d’un habit complet est très élevé : environ 3000 euros. Un capote de paseo peut dépasser 5000 euros… Il est bon de rappeler que pendant la Féria d’Arles, sont installées plusieurs bodegas dont les bénéfices sont destinés à aider de jeunes novillos, par définition peu argentés en début de carrière…

Habit de lumière 2

Habit de lumière 3

Habit de lumière 4

Texte & Photos by Joël D.

Toroscape 31

Toroscape 31, by Miki

Toroscape 31, by Miki - "Juan Jose Padilla rime avec alegria !"

I am happy and proud to present today my first Toroscape based on a wonderful photo taken by my favourite bullfight reporter, my French friend Joel D., at the Feria de Arles in April 2009.

Thank you again, Joël, for this great inspiration and… keep on making such great photos!!!

by Miki

Dimanche 12 avril 2009 – Juan Jose Padilla rime avec alegria !

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Après la pluie et la suppression de 3 corridas, la féria d’Arles est relancée avec une corrida de Miura, ces toros dont la réputation n’est plus à faire et même si certains affirment qu’ils se sont un peu assagis, ces magnifiques toros sont la garantie d’émotions fortes.
Sans mésestimer les qualités de l’andalou Rafaelillo et du bordelais Julien Lescarret, c’est surtout Juan Jose Padilla qui m’a impressionné. Le « cyclone de Jerez », ancien élève de l’école taurine de Cadix, avec ses rouflaquettes et ses cheveux en bataille, donnait tellement l’impression d’être heureux d’être là et vraiment, sa joie est communicative. Spécialiste des Miura, il a offert l’ensemble de son art, du travail à la cape, ample et avec temple, à la faena, sans oublier la pose de banderilles, avec un plaisir évident et ce plaisir partagé, on en avait bien besoin !

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Chef de lidia, Padilla n’a pas manqué d’assumer son rôle lors d’une faiblesse de Lescarret et la qualité de sa prestation a pleinement justifié les oreilles accordées et sa sortie triomphale des arènes.
J’ai entendu certains dire qu’il savait aussi toréer le public. Si cela est vraiment le cas, je reconnais que ça a fonctionné avec moi, enthousiasmé que j’étais !

Les Miura sont restés fidèles à leur image de fougue et de force : en voyant le trou qu’une corne a fait dans les planches, on imagine avec frisson les dégâts d’une cogida infligée par un de ces fauves…

By Joel D.

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Vendredi 10 avril 2009 – Arles : mano a mano…

Juan Bautista

Juan Bautista

Cet après-midi, les arènes sont pleines. Quand le paseo commence, une ovation salue l’entrée des 2 toreros français : Juan Bautista l’Arlésien et Sébastien Castella le Biterrois. Malgré le respect mutuel, c’est une réelle compétition qui réunit ces 2 maestros : qui sera le meilleur pour cette 1ère grande corrida de la féria ? En 2007, à Madrid, ils ont triomphé tous deux face au Roi d’Espagne. Aurons-nous la chance de revivre un aussi grand moment ?
Beaucoup ont regretté que les toros de Domingo Hernandez n’aient pas été à la hauteur de l’événement ; les faenas seront trop tributaires des toros et comme l’a dit le Président du club taurin « La muleta », il ne suffit pas d’avoir des figuras… Néanmoins, de belles choses se dérouleront, chacun ayant à cœur de démontrer son talent. 3 oreilles chacun, une égalité parfaite.
En ce qui me concerne, seule la fraîcheur humide des arènes m’a fait frissonner…

Sebastian Castella

Sebastian Castella

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par Joël D.

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